“Vous qui entrez ici, abandonnez toute espérance.”
Dante D’ALIGHIERI
Ce 17 octobre 2022, l’attaquant phare du Real de Madrid et de l’Équipe de France, Karim BENZEMA, recevait le très convoité trophée du Ballon d’Or 2022. Toutes mes félicitations !
Néanmoins, si ce trophée consacre indirectement la qualité du football français à l’international, il fait de la même façon l’éloge de la diversité ethnique dans la France contemporaine. Une France non seulement métissée, mais aussi complètement submergée par des populations africaines … fruit de 60 années d’immigration massive et institutionnalisée … Je le sais très bien, car j’en suis.
Alors qu’il y a certaines fiertés comme KB9, il demeure néanmoins certaines ombres au tableau quant aux conséquences des immigrations africaines dans notre pays … et c’est peu dire.
UN FAIT DIVERS
En effet, ce même jour du 17 octobre, la presse française nous révélait l’épouvantable crime commis sur une jeune française de 12 ans, par une Algérienne sans papiers de 24 ans, nommée Dahbia B.
Torturée, violée, asphyxiée et très sauvagement égorgée … le supplice de la fillette assomme par son cruauté l’ensemble de la société française, comme avait pu le faire en 2017 celui de la jeune Maëlys, tombée dans les griffes du terrifiant Nordhal LELANDAIS.
LA DÉPOSITION DE LA MEURTRIÈRE
Mais revenons au martyre de Lola et plus particulièrement aux aveux de sa bourrelle lors de ses premières auditions menées par la Police Judiciaire. Voici ce qu’elle révèle aux enquêteurs :
« Je lui ai demandé de prendre une douche […]
J’ai abusé d’elle sexuellement […]
Je l’ai attrapée par les cheveux, j’ai mis sa tête entre mes jambes […]
J’ai eu un orgasme […]
Je lui ai scotché le visage […]
J’ai bu un café puis j’ai écouté de la musique […]
J’ai pris un couteau ou une paire de ciseaux et l’ai poignardé […]
J’ai mis son sang dans une bouteille et j’ai bu de son sang. »
Les enquêteurs indiquent ne pas avoir retrouvé cette bouteille à ce jour.
Mais cette bouteille n’est manifestement pas qu’un détail de l’histoire … Je dois même avouer au lecteur que c’est ce détail, précisément, qui éveilla ma curiosité … Pourquoi une bouteille de sang ? Quel usage d’un si macabre liquide ? Cette bouteille est-elle le but véritable de ce meurtre – pourtant annoncé comme gratuit par l’ensemble de la presse française ? Et cette bouteille du sang frais d’une gamine de 12 ans – blonde et vierge – pourquoi est-elle toujours introuvable ? Vu le niveau de recherche des enquêteurs, cette bouteille est sans nul doute hors des lieux du crime à l’heure qu’il est. Mais où donc alors ? En la possession de qui ? … Est-ce un crime prémédité ? … Organisé ? …
Manifestement, toutes ces circonstances avouées de la bouche même de la principale suspect, ne nous permettent pas de conclure sur un simple fait divers accompli par une « déséquilibrée ».
Autre détail, Dahbia BENSHEITAN. complète sa déclaration par :
« Je me suis battue contre un jnoun. »
Qu’est-ce qu’un « jnoun » ? Le commun des Français moderne (blanc et athée) n’a sans doute jamais entendu cette locution pourtant très répandue chez les Maghrébins. Ainsi, pour un initié de ce milieu, un « jnoun » n’est ni plus ni moins qu’un spectre. Un spectre bénéfique ou maléfique d’ailleurs, tout dépend du jnoun. Le lecteur pourra aussi se familiariser avec le terme « srhour » qui signifie en arabo-berbère « sorcellerie » … Un homme averti en vaut deux.
Petit détail qui vaut son pesant’or maintenant, c’est le constat que font les enquêteurs sur le corps de la jeune Lola … Il correspond impeccablement aux détails formulés par Dahbia BENSHEITAN … Cette version des faits semble être la plus plausible parmi toutes celles que l’interrogée s’égosillera à contredire dans les auditions suivantes.
Dernier détail sur le corps juvénile de la victime. La police relève des « inscriptions en rouge (sang ?) sur la plante des pieds : « 0 » sur le pied droit et « 1 » sur le pied gauche » …
Qui ne penserait pas, dès cet instant, à un crime rituel ?
Le Martyre de Saint Simon de Trente par meurtre rituel juif, de Giovanni Gasparro
CANONISATION POPULAIRE
Pour des questions de commodité de langage et pour inscrire le meurtre sacrificiel de la jeune Lola, décidons de la canoniser – et ce avant même le Pape.
« Grâce sur toi Sainte Lola de Paris »
Une canonisation spontanée, certes. Mais qui est néanmoins populaire et de bon sens … notamment si on s’en réfère aux sacrifices similaires de Saint Richard de Paris en 1180, et celui de Saint Simon de Trente en 1475.
Deux autres sacrifices d’enfants … d’enfants blonds, comme Lola … Deux sacrifices réalisés par des bourreaux qui ne sont manifestement : ni blancs, ni chrétiens … vous allez comprendre pourquoi un peu plus loin.
LE GÉNIE DU DIABLE EST DE FAIRE CROIRE QU’IL N’EXISTE PAS DISAIT CHARLES BAUDELAIRE
Le problème avec le Français moderne c’est qu’il ne croit ni à Dieu ni à Diable … Qu’il est athée autant qu’il est naïf et ignorant sur ses propres malédictions – faites par d’autres .
Alors que son peuple fut le peuple le plus chrétien de toute l’Europe durant plus de 1000 ans … 1000 ans où Rois successifs avaient su éradiquer les sorcelleries et ses sacrifices, hormis bien entendu celui symbolique et non sanglant de l’Eucharistie : du pain et du vin …
Il aura donc fallu un long processus de décriminalisation institutionnelle de la sorcellerie avec la promulgation du Code Civil en mars 1804. Un Code Civil, lui même initié dès 1793 par le Grand Maître du Grand Orient de France : Jean-Jacques-Régis de CAMBACÉRÈS.
Ainsi, plus de crime de sorcellerie en tant que tel … seulement sont reconnus les crimes de meurtre et de tentative de meurtre : qu’importe le mobile. Une véritable aubaine pour les adorateurs du Malin qui peuvent enfin souffler après plus de 1000 ans de chasse aux sorcières à leurs trousses … La preuve en fut qu’avec le régicide du Roi martyre Louis XVI en 1793, le peuple de Paris put voir à l’œuvre le retour de ces rites sanguinaires décrits ici par l’industriel anglais Christopher Potter :
« À la place où tomba la tête du roi, un long ruisseau de sang coula le long des planches de l’échafaud jusque sur le pavé.
Quand l’exécution fut terminée, Sanson (bourreau du Roi) jeta au peuple la redingote du roi qui était en molleton blanc, et en un instant elle disparut, déchirée par mille mains.
Un homme monta sur la guillotine les bras nus et remplit par trois fois ses deux mains de caillots de sang qu’il dispersa au loin sur la foule en criant :
« Que ce sang retombe sur nos têtes ! »
En défilant autour de l’échafaud, tous ces hommes armés qu’on appelait les volontaires trempèrent dans le sang de Louis XVI leurs baïonnettes, leurs piques et leurs sabres.
Un spectateur goûte même le sang du roi, puis grogne :
« Il est bougrement salé ».
LE SACRIFICE D’ENFANTS ZOUHRIS AU MAGHREB
Le but ici n’est certainement pas d’afficher les Musulmans issus de cette région, mais bien au contraire d’afficher ceux qui se sont éloignés de la foi en Dieu par l’adoration de Sheitan.
Cet avertissement fait, il est bon pour tout honnête homme de se pencher non seulement sur la morphologie spécifique de la victime (vierge et blonde aux yeux clairs) comme sur l’origine culturelle de Dahbia BENSEITAN.
Car Dahbia BENSHEITAN est une Algérienne sans papiers (une blédarde !), agée de 24 ans, SDF et présentant des troubles psychologiques sans doute provoqués par le ou les viols dont elle fut la victime et de surcroît d’avoir vu ses propres parents mourir devant elle … C’est du moins ce qu’elle a révélé à la Police française lors de ses premières auditions.
Bref, cette forte intuition de crime rituel commis par une Algérienne sur un enfant blond ne laisse que peu de place au doute : c’est très certainement le sacrifice d’un enfant Zouhri.
« Enfant Zouhri » signifie littéralement « Enfant Chanceux » … Chanceux en ce sens que dans une certaine croyance populaire répandue au Maghreb, les Zouhris sont réputés pour être des individus hypersensibles capables de déchiffrer des signes divins que le commun des mortels ne peut même apercevoir.
Bien entendu, dans cette croyance, les Zouhris sont physiquement marqués par une morphologie particulière … et devinez laquelle … ils sont blonds ou roux … ont les yeux clairs … et possède une ligne continue qui traverse la paume de leur main … Un genre de phrénologie en somme.
Cependant, et c’est là la catastrophe, c’est que les dons attribués aux enfants Zouhris ne suscitent pas que l’admiration, mais malheureusement aussi la convoitise des chercheurs d’or qui voient en eux le moyen de localiser les nombreux trésors enfouis et perdus dans tout le Maghreb.
Petit retour en arrière …
Une tradition maghrébine ancienne prévoyait que le meilleur moyen de protéger ses richesses en métaux précieux était de les enterrer, ceci afin de se prémunir contre les successives razzias qui frappèrent longtemps tout le Maghreb. Mais le manque d’informations sur l’exactitude des enfouissements n’est pas la seule difficulté.
En effet, il s’avère que bon nombre de ces trésors soient enterrés dans des cimetières, en dessous des défunts …
Dans la tradition arabo-berbère, chaque cimetière est gardé par un ou plusieurs entités surnaturelles, les fameux jnouns … vous faites le lien j’espère ?
Ces jnouns ont pour rôle de veiller au repos des défunts et d’empêcher toute profanation des lieux … Profanation qui est le pain quotidien de tout chasseur de trésors.
Très souvent les butins sont très difficiles d’accès, et on attribue souvent cette difficulté à la férocité des jnouns à défendre les tombes. C’est ainsi que certain chercheurs de trésors maghrébins s’associent très régulièrement avec des Fkihs – des sorciers – dans le but de chasser les jnouns gardiens et d’avoir accès au trésor.
Sauf que pour chasser les jnouns gardiens de cimetières, les fameux Fkihs n’hésitent pas à solliciter le Diable avec des incantations de nature satanique.
Ce type d’incantations sont évidemment condamnées par les autorités civiles et islamiques, notamment lorsque ces rites ont pour but d’élaborer un pacte avec le Diable …
A ce niveau de lecture, et si le propos paraît délirant aux yeux des Européens athées, il ne faudrait surtout pas prendre à la légère ce qui va suivre … Car une fois que le Fkih invoque le Diable, ce dernier lui propose – en échange de chasser le jnoun gardien du trésor – d’être abreuvé avec le sang d’un enfant Zouhri … Et pour s’en fournir, les Fkihs maléfiques n’hésitent pas à kidnapper ces petits blondinets lorsqu’ils n’arrivent pas à les acheter directement à leurs parents.
Terrifiant, n’est-ce pas ? … Notons d’ailleurs que plusieurs sources attestent d’une origine hébraïque de ce type de rite. Un rite donc très ancien et qui a ressurgi dès les années 1960 avec – je vous le donne dans le 1000 – avec la décolonisation … Comme quoi, tout n’était pas à jeter.
Pour plus de détails sur les rites sacrificiels de hébreux de l’Antiquité, je vous renvoie à la lecture de l’ouvrage “Mort au cléricalisme ou résurrection du sacrifice humain” de Monseigneur GAUME, réédité aux Editions du Verbe Haut.
Pour en savoir plus sur les enfants Zourhis, veuillez consulter cet article : https://maghreb-observateur.com/?p=9511
Ou écoutez ce podcast :
LA CHASSE AUX ALBINOS DANS LES AFRIQUES NOIRES
Si vous êtes amateur de grands espaces, les Afriques sont des lieux d’indescriptible beauté, et où vivent des peuples aussi différents que variés. Néanmoins, et outre la peau noire qui les couvre, ces différents peuples possèdent une pratique toute aussi commune. Une pratique criminelle à vrai dire … Nous parlons ici de ce que les médias les plus mainstream appellent : la Chasse aux Albinos.
Précisons d’entrée qu’un individu albinos souffre d’une absence de mélanine, et qu’il présente donc une peau blanche, le cheveux blond ou roux et évidemment les yeux clairs. Des traits morphologiques assez similaires aux enfants Zourhis et notre jeune Lola.
Maintenant que nous avons décrit les caractéristiques des victimes de cette fameuse “chasse au albinos”, penchons nous à présent du côté de leurs bourreaux.
Il est évident que cette chasse est funeste pour les proies albinos, notamment lorsqu’elle prévoit la mise à mort autant que le démembrement à vif … car un bras d’albinos peut valoir jusqu’à 4 000 € … Le tout dans le but de concocter des poudres, des gri-gris et autres fétiches morbides devant donner des super pouvoirs à celui qui paie pour les posséder.
Que ça soit au Congo, en Tanzanie, au Malawi, au Sénégal, au Mali, au Kenya, au Burundi, au Bénin, au Cameroun, au Gabon … enfin bref, dans toutes les Afriques nègres en somme … cette pratique rituelle et spirituelle d’ordre satanique (manifestement !) fait plusieurs milliers de victimes chaque année tout en soutenant l’un des business les plus juteux du continent.
CONCLUSION
Pensez-vous réellement que la submersion migratoire venue principalement d’Afrique épargne aux Français de telles pratiques courantes dans les bled d’origines ? Evidemment non, il n’y a d’ailleurs qu’à se pencher sur l’affaire mettant en cause le maraboutage de Kylian MBAPPE par son coéquipier Paul POGBA pour se dire que tout est déjà en place pour ce formidable bond en arrière.
Pensez-vous enfin que le crime abominable – et méthodique – commis sur la jeune Lola est davantage le sacrifice d’une blonde sur l’autel du Diable, qu’un banal fait divers ?
En bons cartésiens que nous sommes, de tels questionnements devraient être l’apanage d’un psychotique complotard … Mais à dire vrai, il est clair que bons nombre de nos concitoyens sont aveuglés par le soi-disant esprit scientifique. Qu’ils portent d’impeccables oeillères qui bornent leurs esprits entre le politiquement correct du “surtout padamalgame avec l’immigration” et une conception du “magique” proche de l’émerveillement qu’ils ont lorsqu’ils visitent pour la première fois Disneyland … Quelle faiblesse !
Bref, armez vous de saines prières à commencer par celle pour le repos de l’âme de Sainte Lola de Paris … Mais surtout : protégez vos enfants des entreprises du Diable qui a manifestement un boulevard devant lui.
Amazir, pour Lorraine Enragée